Le réalisateur et scénariste portugais Augusto Fraga, créateur et réalisateur de la série primée "Rabo de Peixe" diffusée en première sur Netflix dans plus de 190 pays ;ses , c'est; Membre du CPS depuis longtemps environ cinq ans. Il entretient un rapport très personnel avec l'art qu'il nous a transmis dans le dernier numéro de "art", la revue catalogue du CPS. Découvrez votre témoignage de partenaire ici.
"CPS est... Un lieu d'évasion pour des univers impossibles"
Augusto Fraga
C'est Membre du CPS depuis longtemps Combien de temps ?
Je suis membre du CPS depuis plusieurs années. plus de cinq ans, depuis le jour où je suis entré dans le magasin CCB et où une œuvre m'a attiré. Depuis ce moment, je suis un visiteur régulier de ce magasin, où je me laisse emporter par les œuvres que je découvre.
Qu'est-ce qui vous a poussé à vous inscrire ?
Je pense que CPS rapproche les artistes du public, rendant leur art plus accessible, et le public des artistes, rendant les artistes plus intelligibles et plus proches. Des créations artistiques originales accessibles à tous, cela me semble incroyablement positif pour les artistes et pour ceux qui les découvrent.
Dans votre collection, quelles sont vos œuvres préférées, lesquelles mettriez-vous en valeur ?
J'aime beaucoup découvrir de nouveaux artistes et c'est pour cela que j'essaie de choisir les œuvres avant de savoir qui elles sont. l'auteur, ce qui apporte parfois des surprises agréables et inattendues. Mais il y a des auteurs qui m'ont particulièrement attiré au fil des années, que ce soit par la composition, la combinaison de couleurs ou le mouvement interne de l'œuvre… des auteurs allant de Leonel Moura à Miguel Januá a> ou Cristina Ataíde.
Quelle place occupe le CPS au sein de votre entourage le plus proche ?
La relation avec l'art est très personnel et je garde mes visites au staff. Magasin CPS (je préfère voir les œuvres physiquement dans le magasin, même si je les connais déjà grâce au site Web) comme quelque chose de personnel, privé et solitaire. J'aime que ce soit comme ça, sans filtres et sans engagements.
Photo : Inês Subtil